Portrait d'Olivier Ka par Olivier Ka
Que ce soit des livres pour les plus jeune comme Capitaine Fripouille ou Pieter et le Lokken, ou bien des livres pour les plus grands comme Comment j'ai tué Pierre ou le Magasin des Suicides, le scénariste Olivier Ka raconte des histoires qui ne laissent pas les lecteurs indifférents. À l'occasion de la sortie de la BD Les Mains de Ginette, découvrez son portrait !

Le portrait chinois par Olivier Ka
- Un(e) héros du neuvième art : Philémon
- Un(e) vilain, méchant, ennemi du neuvième art : Zorglub
- Une œuvre musicale : L’enfant et les sortilèges
- Un instrument de musique : Forcément exotique, fabriqué avec deux cordes et une boîte de conserve
- Une couleur : Noir et blanc
- Une boisson : Ayran (lait fermenté libanais)
- Un plat : M’loukieh (c’est aussi libanais)
Le coup de cœur d’Olivier Ka
J’ai découvert le Laos il y a trois ans, lors d’une voyage improvisé et plein de surprises. J’en ai fait un ouvrage (Lost in Laos, édité par Elytis) et un spectacle. Le Laos m’habite depuis ces deux mois passés là-bas à l’explorer au gré des rencontres et des hasards. Je ne me suis jamais senti aussi libre et à ma place que durant ce périple, ce pays est aujourd’hui un repère pour moi, ma lueur d’espoir dans les moments sombres, et je sais que j’y vivrai un jour, très probablement.
